AKWABA !!!
COTE D'IVOIRE
ni Esaclave, ni Soumise
Souveraine
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samedi 30 juillet 2011
lundi 25 juillet 2011
BUTIN DE GUERRE: les zones d'influences des comzones à Abidjan
Côte d'Ivoire : les comzones, maîtres d'Abidjan
samedi 23 juillet 2011
vendredi 22 juillet 2011
HERMANN ABOA ARRETE, HIER
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Hermann ABOA, journaliste RTI |
«Appel à l’insurrection, usurpation de titre », entre autres, sont les chefs d’accusation retenus contre le journaliste.
Le mercredi 20 juillet, dans le cadre de l’appel lancé récemment par le procureur de la République à l’endroit du président Laurent Gbagbo et ses proches afin qu’ils négocient le dégel de leurs avoirs, Hermann Aboa s’est rendu dans un bureau situé à Cocody-Angré pour les formalités d’usage. Mais le procureur Djè qui devait le recevoir était absent. C’est alors que lendemain, il est reparti sur les lieux où finalement, il a rencontré le magistrat en question. 5 heures, c’est le temps qu’a duré son audition au terme de laquelle, le journaliste sorti récemment de sa cachette, a été mis aux arrêts. Hier, à 16 h, au moment où nous mettions sous presse, il était gardé dans un commissariat de police, en attendant qu’il soit transféré dans une prison du camp de gendarmerie d’Agban, à Abidjan. La MACA, toujours en réfection, ne pouvant pas l’accueillir.
Ce nouveau dossier sensible qui vient de s’ouvrir sur les hommes de média accusés d’être proches du président Gbagbo, rappelle combien la liberté de la presse en Côte d’Ivoire a atteint des proportions plus qu’inquiétantes. Hermann Aboa, s’en va donc rejoindre dans les geôles du nouveau pouvoir, Franck Anderson Kouassi, Armand Bohui Komé, Serges Boguhé et Germain Guézé. Toute une équipe rédactionnelle aux sièges écarlates à sauver au nom de la liberté de la presse !
Schadé Adédé
Source: Notre voie
jeudi 21 juillet 2011
COUP DE GUEULE DE K. FOFFIE (com zone-korhogo) A ADO
Kouakou Fofié, comzone de Korhogo, |
Nos frères et amis sont tombés (mort, Ndlr ) au front, leurs parents n'ont rien reçu, mais Soro et Ouattara parce que l'armée française les soutient pensent qu'ils peuvent nous forcer à déposer les armes et puis fermer la Centrale. Eux, ils ont leurs milliards, nous on a nos régisseurs aux postes frontaliers. Je répète, l'argent du port suffit à Ouattara et à ses amis. Ils nous ont trompé eux tous, on a compris ça depuis la mort du Major (IB), on va te recontacter frère, ya des choses tu dois savoir", dixit Commandant rebelle Fofié Kouakou.
« Le port suffit à Ouattara et ses amis »
Voici le résumé des propos d'un soldat FRCI, ancien des Forces nouvelles que nous avons joint samedi dernier au téléphone depuis la localité de Ponondougou dans le nord de la Côte-d'Ivoire. Au mois de juin, nous vous faisions cas du refus des hommes du commandant « rebelle » Fofié Kouakou, de laisser les postes de contrôles frontaliers aux fonctionnaires des douanes, affectés depuis Abidjan. Ceux-ci avaient d'ailleurs été menacés et sommés sous la menace des armes de retourner d'où ils venaient. Un mois plus-tard, nous sommes repartis aux nouvelles. Le constat est que le statut-quo demeure, « les douaniers de Ouattara » ne sont toujours pas les bienvenus dans le « Soroland ». Ainsi, des difficultés budgétaires pour le gouvernement Ouattara pointent déjà à l'horizon. L'information sur cette crainte, circule déjà dans les milieux économiques ivoiriens. On comprend mieux tout le sens de l'annonce faite la semaine dernière par le gouvernement Ouattara, sur son incapacité à faire face au service du remboursement de la dette contractée auprès du Club de Paris, pour l'exercice 2011. Cette dette s'élève à 2,3 milliards de dollars US, plus de mille cent (1.100) milliards de FCFA.
Voici le résumé des propos d'un soldat FRCI, ancien des Forces nouvelles que nous avons joint samedi dernier au téléphone depuis la localité de Ponondougou dans le nord de la Côte-d'Ivoire. Au mois de juin, nous vous faisions cas du refus des hommes du commandant « rebelle » Fofié Kouakou, de laisser les postes de contrôles frontaliers aux fonctionnaires des douanes, affectés depuis Abidjan. Ceux-ci avaient d'ailleurs été menacés et sommés sous la menace des armes de retourner d'où ils venaient. Un mois plus-tard, nous sommes repartis aux nouvelles. Le constat est que le statut-quo demeure, « les douaniers de Ouattara » ne sont toujours pas les bienvenus dans le « Soroland ». Ainsi, des difficultés budgétaires pour le gouvernement Ouattara pointent déjà à l'horizon. L'information sur cette crainte, circule déjà dans les milieux économiques ivoiriens. On comprend mieux tout le sens de l'annonce faite la semaine dernière par le gouvernement Ouattara, sur son incapacité à faire face au service du remboursement de la dette contractée auprès du Club de Paris, pour l'exercice 2011. Cette dette s'élève à 2,3 milliards de dollars US, plus de mille cent (1.100) milliards de FCFA.
Hervé Coulibaly
Connection ivoirienne
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