Les massacres de la ville de Duékoué, intervenus à la suite de l'offensive des Forces républicaines de Côte d'Ivoire (Frci) en fin mars dernier, continuent de faire couler de l'encre et de la salive. Ces tueries constituent aujourd'hui une véritable bombe à retardement contre les camps au conflit en Côte d'Ivoire. « Ils sont arrivés, armés de fusils de chasse. Ils ont fait sortir les femmes et réuni les hommes, dont mon papa. Ils ont tué tout le monde pendant que j'étais caché là ». Lopez Glarou, cet habitant d'un quartier de la ville martyre de Duekoué, a échappé bel.
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