Carla Bruni-Sarkozy conseille à Valérie Trierweiler d'épouser François Hollande
"Il est plus simple d'être l'épouse légitime du chef de l'Etat que sa compagne" estime l'ancienne première dame.
Si Valérie Trierweiler "a un peu tâtonné au début"
dans son rôle de première dame, Carla Bruni-Sarkozy, qui a occupé cette
fonction avant elle, entend faire profité la première de son expérience
passée.
Dans un entretien à Elle à paraître jeudi, Carla
Bruni-Sarkozy estime ainsi qu'"il est plus simple d'être l'épouse
légitime du chef de l'Etat que sa compagne".
"Sa situation est un peu floue"
"Je ne me permettrais pas de donner des conseils à
quiconque, je ne parle que de mon expérience, mais il me semble qu'il
est plus simple d'être l'épouse légitime du chef de l'Etat que sa
compagne", déclare l'épouse de Nicolas Sarkozy, à propos de Valérie
Trierweiler, la compagne de François Hollande.
"La présidence de la République est un lieu officiel qui implique des situations officielles. Peut-être que je me trompe et que leur choix est moderne, mais, pour ma part, j'ai senti un apaisement véritable de l'inquiétude générale à mon égard lorsque j'ai épousé Nicolas", ajoute-t-elle.
"Je crois que sa situation est un peu floue et que le flou n'est pas conseillé à ce niveau de l'Etat", poursuit-elle.
"La présidence de la République est un lieu officiel qui implique des situations officielles. Peut-être que je me trompe et que leur choix est moderne, mais, pour ma part, j'ai senti un apaisement véritable de l'inquiétude générale à mon égard lorsque j'ai épousé Nicolas", ajoute-t-elle.
"Je crois que sa situation est un peu floue et que le flou n'est pas conseillé à ce niveau de l'Etat", poursuit-elle.
No comment sur l'affaire du tweet
Carla Bruni-Sarkozy se "refuse" à "juger" l'affaire du
tweet, qui avait vu Valérie Trierweiler adresser ses encouragements à
Olivier Falorni, adversaire de Ségolène Royal, la précédente compagne de
François Hollande, lors des législatives à La Rochelle en juin dernier.
"Je crois qu'elle n'avait simplement pas mesuré la différence entre
avant et après, et c'est normal. De plus, elle est journaliste, c'est
son métier de donner son opinion sur les choses. Elle a très bien
compris où elle se trouvait, à présent. Qui n'a pas fait d'erreurs dans
la vie ?", questionne l'ancienne première dame.
Comme on lui demande si la compagne de François Hollande a raison de
vouloir rester journaliste, Carla Bruno-Sarkozy demande en retour si
Valérie Trierweiler a "le choix". "C'est complexe et difficile: pour ses
confrères et pour elle vis-à-vis de ses confrères. Parce que, même
culturel, le journalisme est censé être un contre-pouvoir, c'est même
une de ses missions, il me semble", ajoute-t-elle.
Carla Bruni-Sarkozy estime aussi que "ça ne servirait à rien" de
créer un statut de première dame, mais "que la personne qui accompagne
le chef de l'Etat - ou la chef de l'Etat peut-être un jour - prenne part
à certains événements protocolaires, pourquoi pas ?".
source BFMTV
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